… qui paiera en fin de compte ?
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Gouvernement : Oublier les associations !
Les Français et l’action associative.
Mort des Associations par absence de subventions …
Lorsque les directives Merkel-Hollande sur l’austérité, les demandes réitérées de Bruxelles de ne plus « subventionner aucune entrepris et associations au nom de la libre concurrence (pour l’épanouissement et l’organisation mercantile des entreprises et associations privées) Ils organisent les baisses de crédits/subventions menaçant de faire disparaître 40.000 postes dans les associations citoyennes.
C’est l’art et la manière de créer du chômage parmi les organisateurs et dirigeants d’associations, de faire disparaître des associations apportant de la solidarité en ces temps de crises aux plus nécessiteux de même que dans bien des endroits ils assuraient le combat contre l’oisiveté (mère de tous les vices) dans les citées, maintenait l’entente multiraciale, cultuelle et une certaine sécurité. MC
Associations, moins de financements en 2014 : graves conséquences …
La première réunion parisienne de préparation de la grande mobilisation associative prévue du 14 au 22 septembre, à l’initiative du Collectif des associations citoyennes (CAC), a été l’occasion de tirer la sonnette d’alarme. « On écrase les collectivités et c’est une situation explosive pour les associations », assure Bernard Massera, de l’Accueil Goutte-d’Or, centre social du XVIII’ arrondissement de Paris.
L’austérité tue, mais les puissances financières s’en contrefichent.
Si l’austérité était testée, comme le serait un médicament dans un essai clinique, elle aurait été jetée aux oubliettes depuis longtemps, compte tenu de ses effets secondaires fatals
La bombe française
Dans son dernier numéro, « The Economist » s’en prend à la France, la grande malade de l’Europe. Sans réformes structurelles, point de salut face à la crise, soutient l’éditorialiste.
La menace d’un effondrement de l’euro s’est momentanément éloignée, mais il faudra plusieurs années d’efforts douloureux pour remettre la monnaie européenne sur pied.
Le pessimisme anglais vis à vis de la France et un vieil antagonisme, sont toujours présent envers les Français. MC