Alors que certains pays riches s’empoignent sur les bienfaits supposés de la chloroquine, des humanités fragiles sont en train de sombrer.
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Ces « fins de mois difficiles » …
Aucun sondage ne les classera dans la colonne consacrée aux pauvres, puisqu’ils gagnent plus que le seuil « conventionnel de pauvreté », fixé à 1.100 euros par mois.
Misère de misère !
Il fut un temps, dans les années 49-50 ou dans mon village de Villejuif qu’était la banlieue parisienne, si près si loin de Paris, ce murmurai parmi les habitants : « Il est tombé dans la misère il a rejoint les taudis des fortifs ».
LES CAVES DE LILLE
Messieurs, quand nous sommes allés à Lille, mes honorables compagnons de voyage et moi, la loi des logements insalubres y avait passé ; voici ce qu’elle avait laissé derrière elle, voici ce que nous avons trouvé.
La pauvreté : enchainement de drames humains
« La pauvreté, qui sévit incontrôlée depuis trop longtemps, est liée aux troubles sociaux et aux dangers qui menacent la paix et la sécurité. À l’occasion de cette Journée internationale, investissons dans notre avenir commun en aidant les pauvres à échapper à leur condition, pour qu’à leur tour, ils puissent contribuer à changer le monde. » M. Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’ONU
LA SOUVERAINETÉ ALIMENTAIRE !
Le problème fondamental qui se pose n’est pas uniquement « vivre », mais « comment vivre en ayant les moyens de construire son bonheur », car survivre ne suffit pas… Au premier rang est donc le fait de se nourrir correctement sans être l’otage d’une minorité dominant la société. Car on peut affirmer qu’il n’y a pas de démocratie sans être maître de son propre destin.
Sur cette voie, le concept de souveraineté alimentaire désigne le droit des populations, de leurs États ou Unions, à définir leur politique agricole et alimentaire afin de l’adapter au mieux aux besoins des individus qui composent leur population.