La prévention ne se décrète pas !
Trop facile et inconscient de dire « Pourquoi prévenir puisque désormais on sait guérir ? »
La prévention ne se décrète pas !
Trop facile et inconscient de dire « Pourquoi prévenir puisque désormais on sait guérir ? »
La découverte des virus bactériophages faite en 1917 par le médecin franco-canadien Félix d’Hérelle, des virus tueurs de bactéries grâce auxquels la médecine remporta de nombreux succès thérapeutiques jusqu’en 1945, date à laquelle ils furent « détrônés » par les antibiotiques et jetés aux oubliettes.
Réflexion. Y-a-t-il corrélation entre élevages intensifs et la perte d’efficacité des antibiotiques administrés aux humains ?
Voilà peut-être une piste à explorer !
Aujourd’hui le surpeuplement et le gavage de poissons, animaux ou volailles à des fins de rentabilité dans d’immenses fermes closes (océans, rivières, campagnes), amènent vétérinaires et producteur-éleveur à utiliser des antibiotiques. D’autre part, que contiennent exactement les pesticides répandus sur le légumes, fruits et l’eau publique ?.
Toute cette nutrition ingérée, n’est-elle pas aussi responsable de la perte d’efficacité des antibiotiques chez l’humain ? MC