… règne de l’inégalité scolaire : Parcoursup.
Lire la suiteParcoursup
Parcoursup
… une machine à broyer les élèves !
Lire la suiteParcoursup, un logiciel trieur.
Combien, en son temps, avons-nous été décrié de manifester notre mécontentement envers la mise en service de ce logiciel conçu pour et par le ministère de l’éducation. Nous disions sans ambages qu’il n’était en l’état des facultés, qu’un logiciel permettant de faire un tri sélectif des candidats, postulant pour les plus hautes études françaises. La réalité dépasse la fiction. MC
Lire la suiteParcoursup : le retour
A partir de 19 heures, les 898.000 inscrits sur la plate-forme d’entrée dans l’enseignement supérieur découvriront les réponses à leurs vœux d’orientation. La procédure d’admission se veut cette année plus apaisée, quoique toujours sous surveillance.
Lire la suiteDes médias, reviennent sur Parcoursup !
[Énormément commenté en bien comme en mal. La reconduction est prévue pour l’année prochaine avec des retouches sur le logiciel, là ou ça a posé problèmes, assure le ministre de l’éducation.
Pourtant même infime certains bacheliers n’auront aucune affectation et c’est a déplorer, d’autres -combien le saura-t-on un jour- durent faire le choix du « privé » avec tout ce que cela comporte comme contraintes financières laissant la place à des inégalités criantes alors qu’il faut une jeunesse ayant un bagage intellectuel-culturel important pour trouver un chemin dans la vie active au sortir du cursus … et se retrouver parfois -souvent- contraint a accepter des petits boulots d’intérimaires bien loin de leurs choix d’orientations exigés par Parcoursup, et malgré un bac plus 2/3/4 voir 5 ans … plus que ce logiciel, ce sont les choix de l’éducation nationale qui sont à revoir. MC ] Lire la suite
Parcoursup et les suppliques des banlieues
« PARIS ne veut pas de nous ! Ce sentiment s’est profondément installé dans l’esprit des jeunes du département « 9-3″, depuis l’ouverture de Parcoursup. Pas une permanence parlementaire sans que je reçoive des bacheliers complètement abattus par le fait de n’être acceptés dans aucune fac parisienne, et qui me demandent d’appuyer leur demande d’affectation auprès du rectorat. »