Ils ont été sollicités pour financer les campagnes des principaux candidats à la primaire de la droite et du centre. Beaucoup ont versé leur écot mais, prudents, ils sont restés discrets jusqu’au bout. Les chefs d’entreprise plébiscitent le programme de François Fillon, mais, au vu des sondages, ils se résignent à Alain Juppé. Les uns pour « jouer gagnant », les autres pour faire barrage à Nicolas Sarkozy. L’ancien chef de l’État clive autant au sein du monde patronal que chez les Français.