Tant de richesse, tant de pauvreté

Une alternative au mode de répartition de la richesse

Entre 1982 et 2013, la part des recettes fiscales de l’État dans le PIB est passée de 19,5 % à 14,4 %. Les entreprises, le capital et les plus riches jouissent de 220 milliards d’allégements fiscaux et sociaux.

La contrepartie: un freinage des dépenses de services publics, mortifère pour le pays, avec pour effet l’aggravation des déficits et de la dette publics. Lire la suite