Pourtant, il chante ce type de chanson… Un déclaration d’amour très hot
À cette heure tardive, c’est autorisé…
Je rêve de ton cul
Je rêve de ton cul, c’est comme ça
Moi qui ne rêvais plus, plus trop le goût à ça
Je rêve de ton cul tous les soirs
Je rêve de la rue que j’emprunte pour venir le voir
Je rêve de ton cul nuit et jour
Il est mon salut, ma plus belle histoire d’amour
Je rêve de ton cul et je n’y peux rien
Je remets mes rêves et toute ma vie au creux de tes reins
Je rêve de ton cul, je l’adore
C’est la plus belle vue, elle vaut son pesant d’or
Je rêve de ton cul, tu es si belle
C’est Dieu qui t’a voulue et moi, je remercie le ciel
Je rêve de ton cul sans arrêt
Mon coeur est à nu, jusqu’où tout ça va-t-il aller ?
Je rêve de ton cul. Dieu que j’aime ça
Comme un ange venu, tu es venue t’asseoir sur moi
Marc Lavoine
Et comment, c’est autorisé. En plus, c’est Marc Lavoine.
…Et même que…. parce que c’est Marc Lavoine tu ne dirais pas non ????
Comme disait savoureusement, goulûment, avec un certain érotisme dans une intonation pleine de désir, un Guy Bedos, dans un sketch célèbre : » mais qu’elle salope » rire
Tres amicalement
Michel
Bonjour Michel,
J’aime beaucoup Marc Lavoine, mais j’ai été très surprise, choquée, de découvrir ce titre sur son CD volume 10… Son image de romantique quelque peu séducteur grande classe s’est envolé.
Enfin ce n’est que mon modeste avis.
Bonne journée Michel ! 🙂
Oui Françoise, c’est exactement ce que je pense…. Il est l’exemple type (pour moi) du faux Bof en costard trop serré… Du faux désinvolte a l’image qu’il véhiculait (que le scénariste lui attribuait, mais sui lui allait comme un gant) dans les films « Les cœurs des hommes ». Hâbleur charmeur, instable.
Un mec qui cache continuellement son jeu.
Amitiés
Michel
C’est la vie non?
Oui, certes, c’est la vie Jean-Jacques, mais il est certains mots, certaines phrases, qui étant prononcées par certaines personnes choquent plus que dites par d’autres. En l’occurrence Marc Lavoine qui s’entend être l’intellectuel de « Gôche » toujours en costard et susurrant des romance destinée à séduire la gent féminine déjà conquise, écorne et détruit (volontairement peut-être) son image de futur beauf. Les mêmes mots chantés par un autre plus « gavroche » n’eurent pas véhiculé la même connotation. Bien sûr ce n’est que mon humble avis.
Amitiès
Michel
Dommage qu’il ne l’ait pas chantée en choeur avec Gainsbourg (rires)
Chacun ses rêves bien sûr…mais celui-ci est peut-être un peu limité pour rassurer sur la pérennité ou la profondeur du sentiment…