Stéphane, après une séparation difficile, a vécu la galère. Aujourd’hui, il a trouvé un petit logement, et se débrouille pour multiplier les contrats. Il est le papa de deux petites filles, dont il n’a pas la garde. Malgré l’amour qu’il leur porte, la juge a estimé que sa précarité ne le rendait pas « fiable » pour avoir ses enfants, qu’il récupère un week-end sur deux…