… Lorsque l’amour est desservi il faut savoir quitté la table !
« Je M’en Vais »
J'ai troqué mes cliques et mes claques Contre des cloques et des flaques Mon sac à dos pour oublier Qu'avant c'est toi qui me pesais Ce qui m'emmène, ce qui m'entraîne C'est ma peine, ma peine, plus que la haine Oh ma route, oh ma plaine Dieu que je l'aime Et tournent, et tournent, dans ma tête Les images du long métrage Où tu es Belle et moi la Bête Et la Belle n'est jamais sage Quand tu diras que c'est ma faute Que je n'ai jamais su t'aimer Au diable, toi, et tes apôtres Mmh… Je m'en vais Et ce qui perle sur mon front Gouttes de pluie, gouttes de froid Donne des ailes, donne donc L'envie de m'éloigner de toi Et mes larmes, et mes armes Sont ma peine, ma peine, plus que la haine Et mes larmes, mes larmes Dieu que j'ai mal Et tournent, et tournent, dans ma tête Les images du long métrage Où tu es Belle et moi la Bête Et la Belle n'est jamais sage Quand tu diras que c'est ma faute Que je n'ai jamais su t'aimer Au diable, toi, et tes apôtres Ooh… Je m'en vais Et tournent, et tournent, dans ma tête Les images du long métrage Où tu es Belle et moi la Bête Et la Belle n'est jamais sage Quand tu diras que c'est ma faute Que je n'ai jamais su t'aimer Au diable, toi, et tes apôtres Ooh… Je m'en vais Je m'en vais
Vianney
A titre personnel est apprécié le texte autant est dépréciée la mélodie
Il a fait de jolis textes certes, mais sa dernière chanson : une horreur ! (Pour moi) texte et mélodie « beau papa » Je pense qu’un certain succès pousse à la médiocrité….
Je ne puis qu’abonder à ton commentaire.
C’est malheureusement souvent le cas de bien des auteurs de textes. Ce n’est d’ailleurs pas à une artiste comme toi que je vais indiquer combien il est difficile de créer en gardant un recul nécessaire visant à une critique constructive.
Ton commentaire me fait me souvenir d’un ami de mon père (peintre), ex collègue d’étude des beaux-arts, que j’ai plusieurs fois rencontré (contraint et forcé- en visite amicale entre peintres, ou dans le cadre d’une des nombreuses expos organisées par mon père). A époque j’étais encore adolescent, ce peintre se vantait de « pondre » toujours à peu près la même chose, avec la même technique dont il disait avoir fait son commerce et « qu’importe disaient-ils si je n’évolue pas dans ma peinture, je vends, je vends, je vends ». C’était Bernard Buffet et sa muse (pas mieux que lui) Annabelle. Au demeurant c’était un type épouvantable d’une moralité douteuse. Pour lui, la création n’est qu’un bien monnayable.
Oui, dans l’art, il y a le créateur et le tiroir-caisse ! Triste nature humaine … heureusement qu’il en reste quelques uns 😉