Il semblerait qu’il soit la révélation de la rentrée littéraire en signant un premier roman racontant une enfance et ressuscitant un Paris disparu …
À méditer.
« J’étais de ceux qui voient agonir leur innocence, la race des bafoués. Nous à qui l’on a tout confisqué, tout détruit dès le départ »
Marin Tince – « Et l’ombre emporte voyageurs » (Seuil) 704 pages 23 €