La gauche vient de connaître sa quatrième défaite électorale en un an. Ce n’est pas pour elle le plus grave. Elle en connaîtra d’autres. La droite aussi, d’ailleurs. Le plus préoccupant pour la gauche, ce n’est donc pas la punition que vient de lui infliger le corps électoral. Ce n’est pas un vote sanction. C’est un vote de désaffiliation. Une partie du » peuple de gauche » vient de tirer sa révérence.