Dans un article titré : « La rue peut-elle supplanter les urnes ? » la journaliste des « Échos » fait le jeu – sur l’air (ou la chanson) de ne pas être d’accord … – avec la gouvernance en place, en détournant ainsi sournoisement des raisons profondes du mécontentement général qui résulte d’une société ultralibérale décadente.
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