Sous quelle étoile suis-je né ?
J’en suis encore à me le demander
Je chercherai peut-être encore
Lorsque sonnera l’heure de ma mort
Même ai-je choisi le bon sentier ?
J’en suis encore à me le demander
Je voudrais ne pas regretter
Lorsque sonnera l’heure de ma mort
Même si je n’ai pas eu l’idée
De voir le jour
Je n’ai pas décidé
Ce court instant d’amour
Sous quelle étoile suis-je né ?
J’en suis encore à me le demander
Je chercherai peut-être encore
Lorsque sonnera l’heure de ma mort
Sur l’amour sur l’amitié
Mon avis n’aura-t-il pas changé ?
Seront-ils à mon chevet ?
Lorsque sonnera l’heure de ma mort
Je n’ai pas eu l’idée
De voir le jour
Je n’ai pas décidé
Ce court instant d’amour
Sous quelle étoile suis-je né ?
J’en suis encore à me le demander
Je chercherai peut-être encore
Lorsque sonnera l’heure de ma mort
Même ai-je choisi le bon sentier
J’en suis encore à me le demander
Je voudrais ne pas regretter
Lorsque sonnera l’heure de ma mort
Michel Polnareff
🌟⭐💫
J’aime bien, mais Michel, tu es né sous une très belle étoile.
Merci Jeanne pour ton commentaire
En vérité, je ne sais si avril 41 était le bon jour pour naitre. Certes, je n’ai pas eu de carence alimentaire dû à cette tragédie humaine qu’est la guerre, mais la réunion d’un jeune homme de 19 ans et d’une jeune fille de 18 ans, sortie de l’internat, se retrouvant « coincés » dans un village du centre de la France pour cause d’exode et le fruit d’expériences sensuelles pour passer le temps d’occupation de la région parisienne de l’armée allemande, n’était pas à l’époque le signe d’une naissance sous une bonne étoile.
Enfant né « de circonstances » non désiré par conséquent, je n’ai eu qu’une bonne étoile en la personne de ma grand-mère paternel qui prendra le rôle de mère en éclipsant celle qui ne fut selon ses dires… mère « sans savoir comment ».
Sous quelle étoile suis-je né ?
J’en suis encore à me le demander
Je chercherai peut-être encore
Lorsque sonnera l’heure de ma mort
Amitié
Michel