… il faut savoir dire stop !
Se remettre en cause, se poser des questions : à quoi sert un blog, à qui s’adresse-t-il et d’autre part, les réseaux sociaux seraient un bien pour un mal (ou vice versa) alors que chacune, chacun, met son laïus dans son coin sans presque jamais échanger, apporter un regard, un avis, un complément… ou si rarement !
À mon âge avancé, cela ne signifie nullement vouloir changer la société. Par contre, la recherche constante et personnelle pour essayer de trouver la vérité au plus près des événements, dénoncer les raisons imposées, encadrant et les prolongations imploratrices de telles lois, telles mœurs de la société, est un exercice intellectuel permettant de faire travailler le cerveau en dehors de toutes affirmations éructées par les médias, concupiscents des pouvoirs en place.
Voilà, besoin de vacances, besoin d’évasion… à bientôt.
Bon profit !
Merci Laurent, et pour toi continue ta révolte envers la société
Et au kazoo Thuir dans le 66 !
J’ai bien noté Laurent depuis longtemps Thuir comme passage, d’autant que j’ai prévu soit à l’automne, soit carrément en fin d’année de revenir dans cette belle région à partir du moment où l’on quitte la côte pour retrouver la sincérité des paysages, leurs beautés sauvages et des habitants avenants.
Amitiés
Michel
Bonnes vacances Michel.
Merci Bernard à bientôt.
Ça va me manquer ta revue de presse, Michel. Je ne lis pas tout, mais pas mal.
Je suis de ceux qui commentent pour renvoyer un peu d’écho constructif. Et c’est vrai que certains jours, les clics j’aime sans lecture me pompent un peu l’air. Réseau pas si social en fait.
Oui, tu as vu juste Jean-Marc, il est vrai que les échanges, commentaires, points de vue; qu’ils se valent (entérinent, alimentent le propos) ou s’opposent à l’article posté, manque cruellement.
Je ne dis pas qu’à certains moments de la journée, je ne fais pas comme tout le monde auprès de certaines parutions (voir en sélectionnant certains auteurs) en cliquant un « j’aime » pour débarrasser, libérer, ma page « messagerie reçue ».
J’avoue le plus humblement possible, que lire de nombreux articles tous les jours, est une manière de laisser en éveille tous les neurones encore valident, empêchent certainement de vieillir plus que nécessaire, D’éviter d’être ce petit vieux qui ne sait plus ce qui se passe autour de lui, qui n’a plus d’avis, qui risque comme dans la chanson de Brel de passer ses journées dans un fauteuil devant une télévision idiote jusqu’au moment où ce sera du fauteuil au lit, puis du lit où lit.
Voilà pourquoi je considère, pour ma part, le blog comme une nécessité, ma nécessité.
Voilà aussi les raisons pour lesquelles j’aime partir en tournée balade, prendre des clichés de lieux que je trouve personnellement jolis ; de ces lieux où se dégage la sérénité, ou le temps ne compte plus, ou les saisons variant le décor vaut que l’on y retourne plusieurs fois au long de l’année…
Peut-être que je vais me décider à retrouver ma jeunesse par écrit, trouver, retrouver des points ou des temps de vie, défricher un parcours relationnel difficile en le démêlant à distance, sans autres repères, n’ayant plus d’attaches familiales antérieures, qu’un amas de souvenirs enfouis au plus profond de ma caboche ; celui de mon enfance que Je n’ai jamais voulu entretenir et qui, pourtant, souvent me saute à la gueule, au détour d’une phrase, d’une rue, d’un événement…
En fait, qui suis-je, je ne sais pas.
Je m’adresse à toi lectrice, lecteur, comme j’aurais pu (j’aurais dû m’adresser) à Isabelle ma fille, Marie-Th, Marie, Barbara, Caroline, Francine… Robert, Bernard, Laurent, Walter, à mes amis disparus… (que celles ou ceux que j’oublie de mentionner, me pardonnent)
Je m’adresse à toi Jean-Marc que je ne connais qu’à travers tes sélections d’articles, tes écrits, je n’aurais jamais osé dire tout cela si tu n’avais pas mis ce commentaire qui m’a particulièrement touché. Tu seras mon porte-parole de ce jour.
Amitiés
Michel
Michel, je suis moi aussi touché de cette longue réponse. Bien que plus jeune, mais pas tout à fait, je pense que s’approchera l’instant des mêmes questions.
Écrire son passé, oui. Plus que jamais, nos traces seront nécessaires.
Continue cette vigilance qui fait vivre .
À bientôt.
Amitiés