Remaniement dans l’air surchauffé des reformes agitées…
Depuis quelques jours, Macron laisse entendre à ses troupes qu’il envisage de procéder à un large remaniement, une fois achevée la séquence des retraites. Avec cet argument : « Beaucoup de ministres ne sont pas à la hauteur. » Le superviseur de l’Élysée juge, en effet, son gouvernement « faible », et nombre de ses membres sont plus proches de la porte que de l’augmentation.
Dans le collimateur du Président : les ministres de la Santé, François Braun, et des Solidarités, Jean-Christophe Combe, celui de l’Éducation, Pap Ndiaye, que le chef de l’État était pourtant si fier d’avoir déniché, voire la ministre de la Culture, son ex-conseillère Rima Abdul Malak.
En vérité, sur 43 ministres et sous-ministres, à peine une dizaine (Le Maire, Darmanin, Lecornu, Attal, Véran, Dussopt, Dupond-Moretti, Guerini, Pannier-Runacher, Grégoire, sans oublier Borne) trouvent grâce à ses yeux.
Quel est donc ce DRH qui a recruté autant de personnes si décevantes ?
Article non signé lu dans Le Canard enchaîné. 01/02/2023
Il veut donc garder ceux qui brai…llent le plus fort. Pourvu qu’ils aient droit à la retraite plus tôt !
bonjour et merci pour ce commentaire, effectivement celui qui se prend pour le Roi-Soleil ne perçoit son entourage que peuplé d’ânes bâtés.
Amitiés
Michel