La journaliste a mené mardi, sur i24News, un débat consacré à Jean-Michel Blanquer et à la polémique autour de son séjour à Ibiza.
« On va parler de cette crise politique autour de Jean-Michel Blanquer, au cœur d’une tempête », lance Anna Cabana, journaliste et animatrice de l’émission Conversations, sur i24News. 19h30, mardi soir : comme BFMTV, LCI, CNews, France Info et d’autres, la chaîne d’info israélienne et francophone (propriété de Patrick Drahi) s’empare de la nouvelle polémique « Blanquer ».
Avec, aux commandes du débat, la journaliste qui partage la vie du ministre depuis deux ans – le couple s’est d’ailleurs marié le week-end dernier.
Depuis les révélations de Médiapart lundi, celui-ci est sous le feu des critiques : le site d’investigations a dévoilé que son grand entretien au Parisien du 2 janvier, portant sur le très attendu protocole sanitaire à l’école pour la rentrée, s’était tenu en visioconférence… depuis Ibiza, où il prenait quatre jours de congés. Pressé de déminer, mardi, il s’est défendu devant les députés à l’Assemblée nationale, puis sur le plateau du JT de 20 heures de TF1.
Une demi-heure plus tôt, Anna Cabana lançait treize minutes de débat, intitulé : « Jean-Michel Blanquer : au cœur de la tempête », comme si de rien n’était.
Rappelant que les syndicats d’enseignants appellent jeudi à une nouvelle journée de mobilisation, elle n’a pas fait mention aux téléspectateurs de la chaîne de sa situation personnelle, pas plus que les trois « décrypteurs » qui l’entouraient : le communicant Stéphane Fouks, vice-président d’Havas, le journaliste David Revault d’Allonnes, rédacteur en chef politique au Journal du dimanche (où Anna Cabana dirige également les pages littéraires), l’écrivaine et éditorialiste internationale de la chaîne Abnousse Shalmani.
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François Rousseaux. Télérama. Source (Extraits) https://www.telerama.fr/ecrans/anna-cabana-animatrice-d-un-debat-tele-sur-son-mari-jean-michel-blanquer-7008311.php
Oui, magnifique !
Lorsque j’ai lu ça, j’ai vraiment été soufflée…
Et, après on fait de grands débats sur le regret concernant la parole politique et celle de certains qui se disent journalistes qui devient de moins en moins crédible…
Il n’y a pas un organisme de régulation des médias ?
Et elle se dit journaliste ?
Bonjour et merci pour ce commentaire qui dit tout ce que je pense de cette journaliste et, attention d’éviter de mettre tout dans le même panier, de certains médias, acoquinés ou faisant le service de la communication gouvernementale.
Cordialement,
Michel
Bonjour Barbara,
Comme j’essaie de le faire chaque jour, il m’a semblé que cet article était important pour comprendre, en même temps, la détresse et le surcroît de travail des instituteurs, les élèves, autour de ce « magnifique logiciel » qui comme tous les logiciels, finalement ont leur revers.
En allant un peu plus loin dans la perspective de l’enseignement futur, ne va-t-on pas à terme, poursuivre la démarche de ce logiciel en le faisant progresser, façon robot-enseignant, à la place des enseignants. L’avantage serait d’abord financier pour l’entreprise conceptrice (au vu du nombre d’élèves atteignables), de supprimer les postes d’enseignants au moins dans les classes « primaires » dans un premier temps et voir de fermer des écoles, au profit d’un télétravail scolaire.
Oui, je sais, c’est de l’utopie complète… que je ne verrai certainement pas 81 ans, mais n’est-ce pas ce qui va advenir ?
Avec toute mon amitié
Michel
Bonjour et merci pour ce commentaire qui dit tout ce que je pense de cette journaliste et, attention d’éviter de mettre tout dans le même panier, de certains médias, acoquinés ou faisant le service de la communication gouvernementale.
Cordialement,
Michel