3 réflexions sur “L’avant-Après le «quoi qu’il en coûte»

  1. bernarddominik 20/12/2021 / 17h08

    Cette crise révèle l’incapacité de l’état à prévoir des aléas. Mais, ce qui est pire, c’est que l’emprunt sert aussi à payer des dépenses courantes. Depuis plusieurs décennies nous avons des gouvernements qui vivent au-dessus de leurs moyens, c’est dû au fait que nos présidents croient toujours que la France est une grande puissance, alors qu’elle n’est qu’une puissance moyenne, qui s’appauvrit et au lieu d’investir dans des moyens de production dépense en prestige et en armes. Elle en est à mendier des ventes d’armes auprès des émirats pétroliers. La France est en train d’être dépassée par l’Italie et l’Espagne, qui au lieu de mettre des milliards dans le paraître et les guéguerres ont investi dans le solaire l’éolien, mais également la petite industrie

  2. Danielle ROLLAT 20/12/2021 / 19h18

    Et l’on va importer de l’électricité allemande (produite avec le charbon) ou russe (nucléaire) apparemment, pour notre fonctionnement quotidien suite à la mise à l’arrêt de plusieurs réacteurs nucléaires…. bonjour la facture…
    Le surplus sera-t-il pris en charge par l’État ?
    Sommes-nous assurés d’éviter de subir de coupures ?
    Espérons que l’hiver ne sera pas trop rigoureux, surtout pour ceux qui dépendent uniquement de l’électricité dans leur vie quotidienne…

  3. luc 21/12/2021 / 11h39

    de toute façon, n’importe quel Balkany vous le dira : le report de la dette sur les générations futures est le b.a.ba du politique !

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