Le GIEC; ce serpent de mer…

… des points d’infos pour… essayer de comprendre !

Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a été créé en 1988 dans l’intention de fournir des évaluations détaillées de l’état des connaissances scientifiques, techniques et socio-économiques sur les changements climatiques, leurs causes, leurs répercussions potentielles et les stratégies de parade.

Depuis lors, le GIEC a établi cinq rapports d’évaluation multivolumes, accessibles depuis l’onglet Rapports. Il a entamé son sixième cycle d’évaluation. 

Note: Certains liens mènent le lecteur à des documents/pages en langue anglaise où aucune version traduite n’est proposée.

Le sixième Rapport d’évaluation

Au cours de ce cycle, le Groupe d’experts a établi à ce jour trois rapports spéciaux et un rapport méthodologique sur les inventaires nationaux de gaz à effet de serre. Il travaille actuellement au sixième Rapport d’évaluation.

À sa quarante-troisième session, en avril 2016, le GIEC est convenu que le rapport de synthèse afférent au sixième Rapport d’évaluation serait achevé en 2022, à temps pour le premier bilan mondial prévu au titre de la CCNUCC. Il s’agira pour les pays d’évaluer les progrès accomplis en vue de réaliser leur objectif qui est de contenir le réchauffement mondial bien en deçà de 2 °C, tout en poursuivant l’action menée pour limiter la hausse des températures à 1,5 °C. Les contributions des trois groupes de travail seront prêtes en 2021.

Principaux liens (en anglais seulement) 

Derniers rapports spéciaux du GIEC

Outre les rapports d’évaluation, le GIEC publie des rapports spéciaux sur des thèmes précis comme les catastrophes et les phénomènes extrêmes, les énergies renouvelables, les conséquences d’un réchauffement planétaire de 1,5 °C et les profils connexes d’évolution des émissions, l’océan et la cryosphère et l’utilisation des terres. On peut les consulter sous la rubrique Rapports.

Durant le sixième cycle d’évaluation, entre octobre 2018 et septembre 2019, le GIEC a apporté la touche finale à trois rapports spéciaux.

Réchauffement planétaire de 1,5° C

Rapport spécial du GIEC sur les conséquences d’un réchauffement planétaire de 1,5 °C par rapport aux niveaux préindustriels et les profils connexes d’évolution des émissions mondiales de gaz à effet de serre, dans le contexte du renforcement de la riposte mondiale au changement climatique, du développement durable et de la lutte contre la pauvreté (SR15).

Ce rapport a été examiné par le Groupe d’experts lors de sa 48ème session (Incheon, République de Corée, octobre 2018).

Changement climatique et terres émergées

Rapport spécial du GIEC sur le changement climatique, la désertification, la dégradation des sols, la gestion durable des terres, la sécurité alimentaire et les flux de gaz à effet de serre dans les écosystèmes terrestres.

Ce rapport a été examiné par le GIEC lors de sa 50ᵉ session (Genève, août 2019).

Résumé à l’intention des décideurs 
Résumé technique (disponible en anglais seulement)
Rapport complet (disponible en anglais seulement)
Vidéo complète (disponible en anglais seulement)

Rapport spécial sur l’océan et la cryosphère dans le contexte du changement climatique

Ce rapport a été examiné par le Groupe d’experts lors de sa 51ᵉ session (Principauté de Monaco, septembre 2019).

Résumé à l’intention des décideurs 

Errata

Figure RID.3 (d)

Résumé technique (disponible en anglais, bientôt dans les autres langues)

Rapport complet (disponible en anglais seulement)

Bande-annonce vidéo (disponible en anglais seulement)

Vidéo complète (disponible en anglais seulement)

Vous trouverez ici d’autres renseignements sur les autres rapports spéciaux du GIEC

Rapports méthodologiques

Le GIEC élabore aussi des méthodologies et des lignes directrices pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre par l’entremise de l’Équipe spéciale pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre. Il s’agit d’aider les Parties à la CCNUCC et son Protocole de Kyoto à dresser des inventaires nationaux des émissions de gaz à effet de serre, par source, et des piégeages, par puits. La dernière publication de grande portée a été les Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre.

Révision 2019 de l’édition 2006 des Lignes directrices du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre

À sa 43ème session, en avril 2016, le GIEC a décidé de réviser l’édition 2006 des Lignes directrices du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serres et d’élaborer un rapport méthodologique pour actualiser et compléter ces lignes directrices. Il en a résulté l’édition révisée de 2019, rapport méthodologique qui sera utilisé conjointement avec l’édition 2006 des Lignes directrices du GIEC.   

Ce rapport méthodologique a été par le Groupe d’experts lors de sa 49ème session (Kyoto, Japon, mai 2019).

L’Équipe spéciale pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre a produit deux séries de directives qui ont été adoptées et acceptées par le GIEC lors de sa 37ème session organisée du 14 au 18 octobre 2013:  

Ces directives complémentaires ont été établies à l’invitation de l’Organe subsidiaire de conseil scientifique et technologique relevant de la CCNUCC, pour les premières, et de la Conférence des Parties agissant comme réunion des Parties au Protocole de Kyoto, pour les secondes.

Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site Web de l’Équipe spéciale (en anglais).

Équipe spéciale pour les données servant aux évaluations du changement climatique (TG – Data)

Cette équipe est censée fournir au Centre de diffusion de données (CDD) des indications sur la conservation, la traçabilité, la stabilité, la disponibilité et la transparence des données et des scénarios afférents aux rapports du GIEC. De concert avec le CDD, elle s’emploie à faciliter l’accès aux données et scénarios relatifs au changement climatique ainsi que leur utilisation systématique à l’appui du programme de travail du GIEC.

L’Équipe spéciale pour les données servant aux évaluations du changement climatique remplace l’Équipe spéciale pour les données et les scénarios servant à l’analyse du climat et de ses incidences (TGICA), qui avait pour mandat de faciliter la diffusion et l’utilisation de données et de scénarios relatifs au changement climatique pour favoriser la recherche et l’échange d’informations entre les trois groupes de travail du GIEC.

À sa 47ème session (13–16 mars 2018), le GIEC a adopté la décision IPCC-XLVII-9 par laquelle l’Équipe spéciale pour les données et les scénarios servant à l’analyse du climat et de ses incidences a été renommée Équipe spéciale pour les données servant aux évaluations du changement climatique et s’est vu confier un nouveau mandat, tandis qu’étaient adoptées des orientations relatives au CDD.

Pour de plus amples informations, veuillez consulter la page Web de l’Équipe spéciale (anglais).

Autres liens utiles dans les pages en anglais

Pour en savoir plus sur les sessions du GIEC, les réunions du Bureau et les réunions du comité exécutif, on pourra se reporter à la section relative à la documentation.

Pour obtenir le calendrier complet des réunions du GIEC et d’autres dates importantes, veuillez consulter le Calendrier Réunions.

En ce qui concerne les communiqués de presse du GIEC, les annonces aux médias et autres déclarations et documents d’information, veuillez consulter la rubrique Nouvelles.

Pour les exposés et allocutions prononcés lors de diverses activités de sensibilisation du GIEC dans le monde, veuillez consulter le Calendrier Sensibilisation.

Pour obtenir des informations sur le Programme de bourses du GIEC, veuillez consulter la rubrique consacrée aux Bourses d’études.

À propos du GIEC. Qui sommes-nous ?

Note: Certains liens mènent le lecteur à des documents de langue anglaise où aucune version traduite n’est proposée.

Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) est le principal organe international chargé d’évaluer le changement climatique. Il a été créé par le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) et par l’Organisation météorologique mondiale (OMM) pour fournir au monde une vision scientifique claire de l’état actuel des connaissances en matière de changements climatiques et de leur incidence potentielle sur l’environnement et la sphère socio-économique. La même année, l’Assemblée générale des Nations Unies approuvait cette initiative de l’OMM et du PNUE.

Le GIEC est un organe scientifique. Il a pour mission d’examiner et évaluer les données scientifiques, techniques et socio-économiques les plus récentes publiées dans le monde et utile à la compréhension des changements climatiques. Il n’est pas chargé de conduire des travaux de recherche, ni de suivre l’évolution des données ou paramètres climatologiques.

Le GIEC est un organisme intergouvernemental. Ouvert à tous les pays Membres de l’Organisation des Nations Unies et de l’OMM, il compte lui-même actuellement 195 pays Membres. Il se réunit au moins une fois une fois par an dans le cadre de sessions plénières auxquelles sont représentés les gouvernements et lors desquelles sont prises les grandes décisions relatives au programme de travail du Groupe d’experts et sont élus les membres et le président du Bureau. Les représentants des gouvernements participent aussi à la détermination des grandes lignes des rapports, à la désignation des auteurs et au processus d’examen, et acceptent, adoptent et approuvent les rapports lors des sessions plénières.

De par sa nature scientifique et intergouvernementale, le GIEC est en mesure d’offrir des ressources uniques aux décideurs en matière d’information scientifique rigoureuse et équilibrée. En souscrivant aux rapports du GIEC, les gouvernements reconnaissent la légitimité de leur contenu scientifique. Les travaux de l’organisation se veulent, par conséquent, utiles pour la prise de décision, mais sans intention de dicter l’action à engager.

Comment le GIEC est organisé

Des milliers de scientifiques du monde entier contribuent aux travaux du GIEC sur une base volontaire, à titre d’auteurs, de collaborateurs et d’examinateurs. Aucun d’eux n’est rémunéré par le Groupe d’experts.

Le Groupe d’experts prend ses grandes décisions lors d’assemblées plénières regroupant des représentants gouvernementaux. Un secrétariat est chargé d’appuyer ses activités.

Le GIEC se compose actuellement de trois groupes de travail et d’une équipe spéciale. Ceux-ci sont appuyés par des unités d’appui technique.

Le Groupe de travail I se charge des éléments scientifiques de l’évolution du climat, le Groupe de travail II des conséquences, de l’adaptation et de la vulnérabilité, et le Groupe de travail III de l’atténuation du changement climatique. Les groupes de travail se réunissent en assemblées plénières auxquelles participent des représentants gouvernementaux. Le principal objectif de l’Équipe spéciale pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre est de mettre au point et d’affiner des méthodes de calcul et de compte rendu des émissions et absorptions de gaz à effet de serre à l’échelle nationale.

Outre les groupes de travail et l’équipe spéciale, d’autres équipes et groupes directeurs peuvent être mis sur pied pour une période plus ou moins longue en vue d’étudier certains sujets ou questions. Un exemple est l’Équipe spéciale pour les données servant aux évaluations du changement climatique.

Pour de plus amples informations sur le GIEC et son mode de fonctionnement, veuillez consulter les pages qui figurent sous la rubrique About (en anglais).

Fiches d’information

Procédures

Les travaux du GIEC se fondent sur une série de principes et de procédures claires pour toutes les principales activités de l’organisation. Ces procédés et procédures sont constamment révisés et actualisés, afin de garantir leur efficacité, leur transparence et leur fiabilité en toutes circonstances. Pour connaître les dernières modifications apportées aux procédures du GIEC et prendre connaissance des informations connexes, voir Révision des procédés et procédures (anglais), qui couvre tous les changements approuvés par le Groupe d’experts au cours de la période 2010–2012.

Le document «Principes régissant les travaux du GIEC» établit le rôle du GIEC, son organisation, la façon d’y contribuer et ses principales procédures, stipulant que le Groupe d’experts doit agir sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective.

Les appendices suivants aux «Principes régissant les travaux du GIEC» décrivent en détail les règles et procédures:

[Le GIEC, lors de sa 52ème session, devrait examiner une version révisée des « Principes régissant les travaux du GIEC »] .

Appendice A

Présente les procédures concernant l’élaboration, l’examen, l’acceptation, l’adoption, l’approbation et la publication des rapports du GIEC.

Il comprend: Annexe 1 –  Rôle des auteurs principaux, auteurs coordonnateurs principaux, auteurs collaborateurs, examinateurs et éditeurs-réviseurs des rapports du GIEC et rôle des agents de liaison gouvernementaux; Annexe 2 – Procédure applicable à l’utilisation de la littérature dans les rapports du GIEC; Annexe 3 – Protocole du GIEC destiné à limiter les risques d’erreur dans les rapports d’évaluation, les rapports de synthèse, les rapports spéciaux et les rapports méthodologiques du GIEC.

Appendice B

Présente les procédures financières du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (notes explicatives correspondantes) (document disponible en anglais uniquement)

Appendice C

Présente les procédures applicables à l’élection du bureau du GIEC et du bureau des éventuelles équipes spéciales.

Afin d’établir les priorités et d’orienter les décisions concernant la préparation éventuelle de rapports spéciaux, de rapports méthodologiques et de documents techniques, le GIEC a adopté le Cadre de décision et critères pour les rapports spéciaux, les rapports méthodologiques et les documents techniques. Il possède également une Politique en matière de conflit d’intérêts, une Politique et procédures appliquées par le GIEC pour l’octroi du statut d’observateur à des organisations et une Stratégie de communication.

Comment le GIEC établit ses rapports:


Rapport de synthèse du VIᵉ GIEC 2021/2022 – En anglais (Traduction par Tranlate possible)


AR6 Synthesis Report: Climate Change 2022

AR6 Synthesis Report (SYR)

The IPCC is currently in its Sixth Assessment cycle, during which the IPCC will produce the Assessment reports of its three Working Groups, three Special Reports, a refinement to the methodology report and the Synthesis Report.  The Synthesis Report will be the last of the AR6 products, due for release in 2022.

According to IPCC procedures the Synthesis Report (SYR) should “synthesise and integrate materials contained within the Assessment Reports and Special Reports” and “should be written in a non-technical style suitable for policymakers and address a broad range of policy-relevant but policy-neutral questions approved by the Panel”. It is composed of two parts, a Summary for Policymakers (SPM) of 5 to 10 pages and a Longer Report of 30 to 50 pages.

The AR6 SYR is based on the content of the three Working Groups Assessment Reports: WGI – The Physical Science Basis, WGII – Impacts, Adaptation and Vulnerability, WGIII – Mitigation of Climate Change, and the three Special Reports: Global Warming of 1.5°C, Climate Change and Land, The Ocean and Cryosphere in a Changing Climate.

AR6 SYR will be finalized in September 2022. Read more

The first Core Writing Team (CWT) meeting was held from 25-29 January 2021.

Background

The Panel at its 41st Session held in Nairobi, Kenya from 24 to 27 February 2015 agreed that it would continue to prepare comprehensive assessment reports every five to seven years and that the scoping of the Synthesis Report – SYR – as well as attention to cross-cutting issues should start at an early stage (IPCC-XLI/4).

Consistent with decision IPCC/XLI-4, a preliminary Scoping meeting for the Sixth Assessment Report (AR6) Synthesis Report (SYR) was held during the AR6 Scoping Meeting in Addis Ababa, Ethiopia, from 1 to 5 May 2017. The Panel at its 46th Session held from 6 to 10 September 2017 in Montreal, Canada, took note of document IPCC-XLVI/Doc.6 which was produced during the scoping meeting.

A dedicated Scoping meeting for the AR6 Synthesis Report was held in Singapore from 21 to 23 October 2019, the outcome of which is included in the AR6 SYR Scoping document IPCC-LII/Doc.10  submitted to the 52nd session of the Panel. It is explained in more detail in the information document  IPCC-LII/INF.12.

The Panel at its 52nd Session held in Paris, France from 24 to 28 February 2020 agreed to the outline of the AR6 SYR as is contained in Annex 1 to Decision IPCC-LII-10.

Core Writing Team

The Core Writing Team (CWT) is the group of authors preparing the Synthesis Report. The list of 30 Core Writing Team members and 9 Review Editors can be found here.

The IPCC Bureau at its 58th Session in May 2020 selected the members of Core Writing Team from the author teams of the three IPCC Working Group and the three Special Reports, reflecting the balance in geographical distribution, gender, and representative of a range of expertise.

The CWT also includes  the Chair, the IPCC Vice-Chairs, the Working Group Co-Chairs, the heads of the Working Group and Synthesis Report Technical Support Units, and the Secretary of the IPCC.

“The biggest simultaneous challenge and opportunity for the Sixth Assessment Report Synthesis Report is the massive increase in public awareness of climate change since the Fifth Assessment Report, and the readiness of governments and other actors to address the challenge,” said IPCC Chair Hoesung Lee, who leads the preparation of the Synthesis Report.

“My main request to you as a member of the Core Writing Team will be to strive to go beyond listing the key findings of the Special Reports and Working Group contributions to AR6, to develop a Synthesis Report document that is a real integration of the AR6 cycle materials,” he said in a letter of welcome to the Core Writing Team members.

The Core Writing Team will prepare the Synthesis Report of the Sixth Assessment Report (AR6) – the document that will integrate all the IPCC reports in the current assessment cycle.

Core Writing Team meetings

Synthesis Report Outline

The SYR outline agreed at the 52nd Panel Session of the IPCC consists of an introduction and three main sections arranged by timeframes.

The first section, ‘Current Status and Trends’, covers the historical and present period. The second section, ‘Long-term Climate and Development Futures’, addresses projected futures up to 2100 and beyond. The final section is ‘Near-term Responses in a Changing Climate’, considers current international policy timeframes, and the time interval between now and 2030-2040.

This structure, substantially different to what was adopted for AR5 SYR, enables a holistic framing that integrates across the Working Groups, better enabling the SYR to cover different aspects of climate change.

————————–

Source (Lecture libre)

5 réflexions sur “Le GIEC; ce serpent de mer…

  1. bernarddominik 22/10/2021 / 11h27

    Le GIEC est un organisme politique, ses rapports sont corrigés en fonctions des intérêts des États. Il ne faut pas oublier 2 points essentiels:
    1 le CO2 est essentiel pour la végétation et son impact sur l’effet de serre est très faible
    2 c’est la vapeur d’eau qui est à 90% responsable de l’effet de serre.
    L’accusation du CO2 est donc purement politique et vise à faire investir aux États les 3800 milliards d’euros nécessaires au renoncement aux énergies fossiles. Pactole qui intéresse au plus haut point les multi nationales et les états à travers la fiscalité (tva 760 milliards de $ ) . Cela représente un endettement colossal et, en période transitoire, des taxes carbones colossales qui signifient un appauvrissement significatif des populations.

    • Libres jugements 22/10/2021 / 12h28

      Merci Bernard pour ce commentaire
      En vérité, j’ai posté cet article, mais avant tout afin d’attirer l’attention de la lectrice, du lecteur, sur ce pataquès (pour ne pas dire c’est enfumage) autour des décisions concernant le climat. Après lecture de cet article on voie très bien qu’il est pratiquement impossible de décréter une entente internationale… sauf à distiller continuellement des perspectives inaccessibles. C’est toujours mieux que rien, mais dans tous les cas pas assez pour changer les donnes climatiques.
      Amitiés
      Michel

  2. jjbey 22/10/2021 / 18h38

    Le fric s’en fout ce qui compte c’est faire du fric alors quelques degrés de plus ou de moins quelle rigolade………..

  3. Danielle ROLLAT 22/10/2021 / 21h33

    « Une usine à gaz » pour rester polie, pour la citoyenne lambda que je suis.

Les commentaires sont fermés.