Coucou …
Et un jour une femme …
D’avoir passé des nuits blanches à rêver Ce que les contes de fées vous laissent imaginer D’avoir perdu son enfance dans la rue Des illusions déçues, passer inaperçu D’être tombé plus bas que la poussière Et à la terre entière, en vouloir puis se taire D’avoir laissé jusqu’à sa dignité Sans plus rien demander qu’on vienne vous achever Et un jour, une femme Dont le regard vous frôle Vous porte sur ses épaules, comme elle porte le monde Et jusqu’à bout de force Recouvre de son écorce, vos plaies les plus profondes Puis un jour, une femme Met sa main dans la vôtre pour vous parler d’un autre Parce qu’elle porte le monde Et jusqu’au bout d’elle même Vous prouve qu’elle vous aime Par l’amour qu’elle inonde Jour après jour vous redonne confiance De toute sa patience vous remet debout R’trouver en soi, un avenir peut-être Et surtout l’envie d’être, ce qu’elle attend de vous Et un jour, une femme Dont le regard vous frôle Vous porte sur ses épaules comme elle porte le monde Et jusqu’à bout de force, recouvre de son écorce Vos plaies les plus profondes… Vos plaies les plus profondes… Et un jour cette femme, met sa main dans la vôtre Pour vous parler d’un autre, parce qu’elle porte le monde Et jusqu’au bout d’elle même, vous prouve qu’elle vous aime Par l’amour qu’elle inonde… Par l’amour qu’elle inonde… Et un jour, cette femme, dont le regard vous touche Porte jusqu’à sa bouche, le front d’un petit môme Et jusqu’au bout de soi, lui donne tout ce qu’elle a Chaque pas, chaque seconde, jusqu’au bout du monde Jusqu’au bout du monde
Paroles de Lionel FLORENCE – Musique de Pascal OBISPO – Chanté par Florent Pagny
Merci, j’adore !