… impossible de ne pas sourire devant ces quiproquos …
Félicie … Aussi
C'est dans un coin du bois de Boulogne Que j'ai rencontré Félicie Elle arrivait de la Bourgogne Et moi j'arrivais en taxi Je trouvais vite une occasion D'engager la conversation Il faisait un temps superbe Je me suis assis sur l'herbe Félicie aussi J'pensais les arbres bourgeonnent Et les gueules de loup boutonnent Félicie aussi Près de nous sifflait un merle La rosée faisait des perles Félicie aussi Un clocher sonnait tout proche Il avait une drôle de cloche Félicie aussi Afin de séduire la petite chatte Je l'emmenais dîner chez Chartier Comme elle est fine et délicate Elle prit un pied de cochon grillé Et pendant qu'elle mangeait le sien J'lui fis du pied avec le mien J'pris un homard sauce tomate Il avait du poil au pattes Félicie aussi Puis une sorte de plat aux nouilles On aurait dit une andouille Félicie aussi Je m'offris une gibelotte Elle embaumait l'échalote Félicie aussi Puis une poire et des gaufrettes Seulement la poire était blette Félicie aussi L'Aramon lui tournant la tête Elle murmura quand tu voudras Alors j'emmenai ma conquête Dans un hôtel tout près de là C'était l'hôtel d'Abyssinie Et du Calvados réunis J'trouvais la chambre ordinaire Elle était pleine de poussière Félicie aussi Je m'lavais les mains bien vite Le lavabo avait une fuite Félicie aussi Sous l'armoire y avait une cale Car elle était toute bancale Félicie aussi Et des draps de toile molle Me chatouillaient les guiboles Félicie aussi
Chanson immortalisé par Fernandel
J’adore, sourire à la clé ! Pauvre Félicie 😉
Bonne journée Michel ! 🙂
Nostalgie oblige!
Merci pour ce commentaire
Cordialement
Michel
Merci, cette chanson , pour moi n’a pas une ride (pas comme moi) elle me fait toujours rire. Bon après-midi MTH
Merci Marie pour ce commentaire.
D’autre part personne ne prend de rides, personne n’a le droit de se sentir vieillir, personne n’a le droit de se laisser aller, vivons aujourd’hui chaque minute.
Très amicalement
Michel
On peut rire de bon cœur Fernandel nous rafraîchit dans ces temps de morosité.