Une chronique d’Ivan Rioufol, nous faire réagir.

L’attaque : CHRONIQUE – Le gouvernement, s’il sait multiplier les interdits sanitaires, demeure les yeux grand fermés devant les défis sécuritaires et civilisationnels posés par la contre-société islamique qui s’étend. Par Ivan Rioufol François BOUCHON/Le Figaro, 4 septembre 2020

Affaire entendue: l’État est imbattable dans la multiplication des règlements, normes, arrêtés. Cette épidémie-là n’est pas près de s’éteindre avec le Covid-19, qui mobilise encore les technocrates en dépit de sa moindre dangerosité. Déjà Montaigne se lamentait: «Nous avons en France plus de lois que tout le reste du monde ensemble.» Même les écoliers, très peu contaminants, sont astreints au port du masque, ainsi que les enseignants. L’État-nounou est affligeant: «Papi et mamie doivent éviter d’aller chercher les enfants à l’école», a mis en garde le premier ministre.

Jamais la politique n’avait volé si bas qu’avec ses initiatives visant à assurer au citoyen infantilisé sa protection sanitaire, ce nouveau droit de l’homme.

Reste que, parallèlement, l’État demeure aboulique, sinon aveugle, devant l’augmentation des crimes et des violences. Il se laisse passivement déborder par le dynamisme de l’islam politique, qui partout se joue des ventres mous.

En résumé on a fait beaucoup trop autour de la pandémie… les malades et ceux qui ont perdu des personnes de leur famille, apprécieront à sa juste valeur.

Mais alors si la pandémie n’est plus d’actualité qu’est-ce qui ronge le moral des Français : le futur chômage, le pouvoir d’achat, l’absence de soutien social… bien non. Ce qui ronge le moral des Français c’est l’augmentation de la violence largement mise en avant par tous les médias. Dans pratiquement toutes les informations journaux radio télévisées, est décrit par le menu tout acte de violence. Entendons-nous il n’est pas question dans notre esprit de laisser impuni tout acte malveillant. Nous disons simplement qu’il est plus facile de faire un constat que de résoudre socialement le problème car là il s’agit bien d’une affaire de société et donc de gestion de l’État. Nous pouvons considérer qu’à l’heure actuelle la mise en avant de tous ces événements n’est qu’un exercice destiné aux futures élections qui vont émailler dès novembre 2020 jusqu’à mai juin 2022 la vie publique. MC

Idéologie victimaire

À Nantes, le viol et le meurtre de Céleste, 15 ans, par un multirécidiviste, François V., ont été qualifiés ce week-end d’«échec pour la société» par le parquet. En réalité, cette tragédie est celle d’une justice qui, par idéologie victimaire, s’est désintéressée du sort des agressés pour s’attendrir sur celui des agresseurs, vus comme des accidentés de la vie. […]

[…] Dupond-Moretti […] ne semble pas réaliser qu’il devient le meilleur allié de son ennemi tant son conformisme, qu’il prend pour de la subtilité, invite à l’aveuglement. […]  Contestant le terme d’« ensauvagement » employé par Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, il estime que ce mot développe « le sentiment d’insécurité » qui relèverait « de l’ordre du fantasme ». Ce dénégationnisme était déjà celui de la gauche avant qu’elle ne sombre.

[…]

Voilà pour la justice, on s’étonne même qu’il n’y a pas de propositions de réouverture du bagne de Cayenne avoir de ressortir la guillotine. Alors pendant qu’il est dans sa chronique, Ivan Rioul remet le couvert sur ce que serait l’islamisation française. MC

Manque de courage

Le gouvernement, s’il sait multiplier les interdits sanitaires, demeure les yeux grand fermés devant les défis sécuritaires et civilisationnels posés par la contre-société islamique qui s’étend. […] … la macronie se garde d’incriminer les salafistes et les Frères musulmans qui accompagnent, avec l’extrême gauche, le totalitarisme coranique. Certes, Darmanin a assuré, lundi: «Le risque terroriste d’origine sunnite demeure la principale menace à laquelle est confronté notre pays.» Mais le terrorisme chiite, représenté par le Hezbollah au Liban, est un danger comparable. Pourquoi dissimuler cette autre menace?

[…]

Élites incultes

«Les élites dirigeantes sont devenues incultes», constate le philosophe Marcel Gauchet, […] Valeurs actuelles, cette semaine, a été cloué au pilori pour avoir, dans une fiction, présentée la députée (LFI) Danièle Obono en esclave africaine. L’extrême gauche racialiste, anti-Charlie et «antisioniste» a reçu tous les hommages des imbéciles heureux.


La chronique d’Ivan Rioufol a été lue sur le blog Artofuss – lien (apparemment c’est l’intégralité de la chronique)


Note de l’administrateur. En aucune manière nous disons qu’il n’existe aucun problème de violence en France, entre autres. Nous pensons simplement qu’il est trop simple de relater les faits sans prendre en compte ni la genèse, ni le déroulement. Nous vivons dans une société où les tensions sont exacerbées, où des minorités sont ghettoïsées (nous ne voulons pas penser que cela soit volontaire, bien que quelquefois, il faudrait se poser la question) , ou la scolarisation est réservée à une élite, où le chômage est rampant, où l’économie est vacillante, où le gouvernement organise le « moutonnage » de la société pour mieux l’asservir, lui retirer toute velléité d’accéder à une société égalitaire. MC

Une réflexion sur “Une chronique d’Ivan Rioufol, nous faire réagir.

  1. jjbey 05/09/2020 / 10h18

    La violence reste le lit de l’extrême droite et l’insécurité réelle ou ressentie alimente le protectionnisme qui favorise la dictature. Pendant que l’on parle QUE de cela le silence est complet sur les mesure antisociales qui sont prise en catimini. Qui sait que l’on a supprimé six jours de congés aux cheminots par exemple? Alors on fait quoi pour dénoncer les vrais profiteurs de cette violence organisée pour détruire la démocratie?

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