… si aujourd’hui, un tel texte pourrait paraître … sans recevoir quelques injures.
La femme est un délicieux instrument de plaisir, mais il faut en connaître les frémissantes cordes, en étudier la pose, le clavier timide, le doigté changeant et capricieux.
Honoré de Balzac
Oh la la, j’entends déjà gronder la gente…
Bonjour Patricia
Autres temps, autres mœurs. C’est vrai qu’au temps de Balzac, la femme était visionnée comme conquête de plaisir charnel, permettant le badinage tel que l’a décrit Marivaux et autres …
Il en reste pas moins vrai que c’est le texte d’un auteur ayant son actif quelques livres classiques indémodable décrivant des mœurs paraissant dépassés alors qu’ils sont toujours présents dans les faits.
Bonne journée à vous
Cordialement
Michel
Effectivement.
Belle journée Michel
Probablement pas. Et peut être même des procès
Bernard bonjour
Comme je l’ai dit dans un autre commentaire, un auteur actuel n’emploierait pas les mêmes mots, mais dans les faits cela reste pour certaines et certains le même jeu.
Je trouve que l’on va un peu trop loin dans cette forme de pruderie actuelle du type MeToo, ce qu’a très bien symbolisé les « chiennes de garde » un temps, qui maintenant sont elles-mêmes dépassées par d’autres mouvements féministes. On en arrive au stade ou le simple fait de dire à une femme que l’on ne connaît pas, bonjour, peut être mal interprété …
Que l’on ne me fasse pas dire que je suis contre la libéralisation de la femme, du respect mutuel et dans la mesure du possible toute la parité. Quoi que l’on dise quoi que l’on fasse il restera quand même que la maternité et du rôle physique et génétique de la femme. Nous ne sommes pas encore et heureusement au stade de la bocalisation du « meilleur des mondes ».
Avec toute mon amitié
Michel
Si l’on doit expurger le passé avec notre grille de lecture moralisatrice actuelle, on peut supprimer une bonne partie de la littérature …
Merci d’avoir osé 😉
Bonjour Michel,
Voila qui est joliment dit. La seule chose qui me dérange est le terme « instrument », « source » placerait la femme non plus comme une chose comme avec le mot « instrument ».
Mais c’était un autre temps…
Bonne journée Michel ! 🙂