Homéopathie et polémique…

L’histoire de la polémique concernant l’homéopathie n’est pas aussi innocente qu’on le pense. Bien orchestrée elle peut aboutir à la destruction de tout un pan de la médecine, qui se veut intégrative et respectueuse de la santé de tous.

Le début de l’histoire

La polémique concernant l’homéopathie débute par une tribune commise en mars 2018 par un soi-disant collectif spontané se nommant no fake médecine, ce qui peut se traduire littéralement et ironiquement de deux façons : pas de fausse médecine ou une médecine authentique. Ce collectif existait déjà en Europe (Angleterre, Espagne, Hongrie) depuis quelques années sous le même nom et avec les mêmes propos, ce qui démontre une organisation bien établie destinée à supprimer cette thérapeutique.

Cette tribune dénonce l’homéopathie comme inutile, inefficace, dangereuse et coûteuse pour la société. Inutile, puisque la médecine répond très bien aux problématiques de santé de la population. Inefficace, puis qu’aucune étude n’a montré la preuve d’un effet supérieur au placebo (médicament sans effet thérapeutique). Dangereuse, du fait qu’elle est prescrite par des « charlatans » qui ne devraient plus être médecins et donc cause une perte de chance aux malades qui seraient détournés des traitements conventionnels efficaces. Coûteuse, parce qu’elle obère au budget global du médicament en France 0,7% de ses dépenses.

Cela montre la totale méconnaissance de ce qu’est la thérapeutique homéopathique, ses possibilités dans le champ de la médecine, la recherche qui s’effectue depuis des décennies et sa place en santé publique. Ces éléments ont été repris pour argent comptant et sans vérification par l’ensemble de la presse grand public et professionnelle dont nous verrons les intérêts à entretenir le feu. Voyons point par point les différents éléments de cette tribune.

Qui sont les no fakemed?

Ce collectif est constitué essentiellement de quelques médecins souvent jeunes ou très jeunes (étudiants en médecine, internes en fin d’études, jeunes installés) qui ne peuvent revendiquer une grande expérience médicale de terrain, de spécialistes de médecine « dure » (anesthésistes réanimateurs, cardiologues) pour qui l’homéopathie n’a effectivement que peu d’intérêt et qui n’ont aucune connaissance de la réalité du médecin généraliste, et de médecins retraités ayant été bercés par l’industrie pharmaceutique vantant les bienfaits inconditionnels des médicaments allopathiques. Ces quelques médecins, évoluant pour beaucoup sous des pseudonymes, sont suivis par un groupe d’adeptes de Twitter déversant une haine non fondée et nominative sur les défenseurs de l’homéopathie.

Le collectif no fakemed utilise une dialectique déjà éprouvée en Europe par des groupes similaires avec des arguments identiques.

L’homéopathie, une thérapeutique inutile ?

Le champ d’action de la thérapeutique homéopathique, notamment en médecine générale et pour les sages-femmes, recoupe celui de grandes problématiques de santé publique. Elle peut être une alternative pour des pathologies comme les affections ORL récidivantes, les douleurs chro­niques, les troubles anxieux et les dépressions légères à moyennes. Complémentaire dans les soins de support des pathologies graves, l’homéopathie aura pour effet de diminuer les effets délétères lorsqu’ils sont gênants, comme dans les traitements cancérologiques, et d’améliorer la qualité de vie de façon générale.

L’homéopathie, une thérapeutique inefficace ?

Au regard des critères aujourd’hui admis dans la communauté médicale, les médicaments homéopathiques ne remplissent pas les critères requis par la science pour être jugés efficaces.

Selon les détracteurs de l’homéopathie, nous aurions la preuve que le médicament homéopathique n’a pas un effet supérieur au placebo. Pour argumenter leur propos, ils se basent sur deux études appelées « méta-analyses » produites par les autorités de santé australiennes et l’Académie des sciences européenne. Ces méta-analyses sont la compilation de recherches publiées qui peuvent répondre à une question comme : l’homéopathie a-t-elle une action supérieure au placebo ? Certaines d’entre elles l’ont affirmé, d’autres l’ont infirmé. Tout dépend des choix de publications pris en compte. Cela montre bien le caractère très subjectif de cette méthode de validation.

Concernant l’étude australienne, le Conseil national de recherche médicale et de santé (NHMRC), organisme de recherche médicale de pointe d’Australie, a admis, sous le contrôle du Sénat, qu’ils n’avaient pas suivi de normes ou de directives scientifiques reconnues en examinant les preuves de l’homéopathie. D’autre part, leur conclusion se fonde sur 5 études bien choisies pour leur résultat contestable. De là à parler de parti pris… La méta-analyse de l’Académie des sciences a été dirigée par des scientifiques dont certains avaient des conflits d’intérêts importants avec l’industrie pharmaceutique, avec les mêmes biais et les mêmes conclusions. D’autre part, une réalité statistique n’est pas une réalité clinique et, dans la vraie vie, le service rendu peut aller au-delà de la réponse du sujet moyen étudié dans les études randomisées.

Un oubli

Si la focalisation de la stigmatisation de l’homéopathie s’est fondée sur les preuves, certes difficiles à obtenir avec les moyens habituels d’étude de cohortes de personnes comparées à un placebo, il n’a jamais été question dans le discours de service médical rendu. Pourtant, une vaste étude épidémio-économico-pharmacologique nommée EPI3 a démontré au travers de plus de 8.500 personnes et 800 médecins la réalité du service médical rendu à la population par l’homéopathie.

Cette étude, effectuée par un comité d’experts reconnus par leurs pairs et indépendants, a évalué les résultats thérapeutiques dans trois grands domaines de la santé publique : les pathologies ORL récidivantes, les douleurs chroniques, les troubles anxieux et la dépression moyenne. Le résultat est sans appel. Dans tous ces domaines de santé préoccupant le grand public et les médecins généralistes, l’homéopathie donne des résultats thérapeutiques équivalents, sans aucune perte de chance ni effet secondaire, avec une consommation de 50% de médicaments possiblement toxiques en moins. Une révolution en santé publique !

Dans la vraie vie, le patient n’est pas une moyenne prise dans une cohorte d’individus randomisés, il est un sujet unique avec ses problèmes de santé, son environnement, ses émotions et sa volonté ou non d’aller mieux. C’est également oublier que l’homéopathie n’est pas qu’un médicament, c’est également une prise en charge globale, une vision médicale préventive, personnalisée et participative qui vise à rendre le patient acteur de sa santé par une meilleure connaissance de lui-même.

L’homéopathie, une thérapeutique dangereuse ?

Il est reproché aux médecins homéopathes de faire prendre à leurs patients un risque vital pour leur santé en les détournant de la « vraie » médecine. C’est oublier que les professionnels de santé, médecins, pharmaciens et sages-femmes, respectent les règles de l’art médical et sont soumis comme les autres aux prérogatives de leurs ordres respectifs.

Par la connaissance très pointue de la clinique, de la physiologie et de la physiopathologie qu’implique la prescription des médicaments homéopathiques, les médecins homéopathes sont des professionnels de haut niveau. Il n’a jamais été question de soigner des pathologies vitales par l’homéopathie, mais accompagner des maladies graves pour mieux supporter les effets secondaires et améliorer la qualité de vie a dusens, y compris en chances de survie et de guérison comme certaines études le montrent.

L’homéopathie, une thérapeutique coûteuse ?

Deux faits infirment cette idée reçue. L’homéopathie ne coûte que 0,7% du budget global… D’autre part, les patients qui se soignent par homéopathie consomment en moyenne 50% de médicaments allopathiques qui, nous pouvons le rappeler, font par mésusage 20.000 morts par an et coûtent de ce fait 15 Mds€ à la société. De récentes études de la Caisse nationale d’assurance maladie montrent qu’en France un médecin homéopathe coûte en moyenne 1/3 moins cher qu’un confrère ne prescrivant pas d’homéopathie. La maladie coûte cher, c’est indéniable, la santé est beaucoup moins coûteuse et l’homéopathie s’inscrit dans ce registre. Les traitements préventifs, la prise en charge des troubles anxieux très pourvoyeurs de pathologies graves, l’intégration de la thérapeutique homéopathique dans l’éducation thérapeutique du patient qui associe une bonne observance des traitements y compris conventionnels, une meilleure hygiène de vie et une plus grande autonomie de santé vont dans ce sens. Il est reproché aux médecins, pharmacien et sages-femmes homéopathes de « trop » parler à leurs patients alors qu’ils ne font qu’un bon exercice de leur profession qui pourrait être copié.

Au nom de la « science »

Les détracteurs de l’homéopathie mettent en avant des défauts de preuves scientifiques. Si l’on considère les propos de certains académiciens de médecine ou de pharmacie, l’affaire n’est pas nouvelle puisque déjà, en 1835, le ministre Guizot, en réponse à l’Académie de médecine disait : « Hahnemann est un savant de grand mérite. Si l’homéopathie est une chimère ou un système sans valeur utilitaire, elle tombera d’elle-même. Si elle est, au contraire, un progrès, elle se répandra en dépit de vos mesures de préservation, et l’Académie doit le désirer avant tout autre, elle, qui a mission de faire avancer la science et d’encourager les découvertes. » Mais l’académie n’a que faire des découvertes et plutôt que de proposer une réflexion sur une évaluation adaptée aux thérapeutiques prenant en considération la globalité somato-psychique de l’homme, se cantonne à une médecine par les preuves dont on commence à voir les limites dans notre pratique au quotidien. Adaptée aux pathologies graves et vitales, elle ne répond pas du tout aux besoins quotidiens de la population pour un coût exorbitant. Une question reste posée : à qui profite le crime ?

Comme nous avons pu le constater, l’affaire était entendue dès le début et la chronique de la mort de l’homéopathie annoncée. Avançant dans le calme, la communauté homéopathique, patients, sociétés savantes, syndicats et laboratoires ont subi le mépris et la vindicte de leurs pairs, relayés par une presse étrangement bienveillante. À ce jour, la décision du ministère de la Santé, si bien nommé, n’est pas rendue, mais quel que soit le résultat, l’homéopathie reste une merveilleuse thérapeutique utilisée par plus de la moitié de la population.


Dr Antoine Demonceaux, homéopathe. La Revue de la MTRL – N°102


13 réflexions sur “Homéopathie et polémique…

  1. Robin 06/07/2019 / 11h15

    Pour info, une meta-analyse permet d’écarter les études scientifiques comportant des biais statistiques et autres problèmes qui la rendent très faible, c’est pour cela qu’elles sont écartées. Si vous avez des preuves concernant les conflits d’intérêts, d’ailleurs…

    De plus l’étude EPI 3 ne confirme en rien l’efficacité de l’homéopathie, c’est même indiqué dans la conclusion.

    • Libres jugements 06/07/2019 / 11h52

      Juste une observation : depuis des siècles la médecine chinoise utilise l’homéopathie et obtient des résultats probants à tel point que certains médicaments proposés par les labos, sont directement issus des pratiques chinoises (qui de plus comble de l’ironie ont déposé des brevets alors qu’ils ont simplement ajoutés quelques poudres de perlimpinpin aux ingrédients homéopathiques).

      Pour autant je ne suis ni pharmacien ni médecin et mes connaissances en matière de soins se rapportent uniquement à l’efficacité des produits qui me sont Prescrit par mon référent médecin.

      Dire que l’Arnican par exemple (entre autres bien évidemment) n’est pas efficace, me semble relever de l’arnaque orchestré par les laboratoires, entendant prendre la mainmise sur toutes productions destinées aux soins … aux prix fort, convenant à la rémunération d’actionnaires …

      • Robin 06/07/2019 / 13h37

        Depuis des siècles ? Combien exactement ? Savez-vous au moins qui a inventé cette pratique et quand ?

        Quels médicaments sont directement issus des pratiques chinoises ?

        L’arnica est, il me semble, le seul produit à ne pas être homéopathique.

        Je ne suis ni pharmacien, ni médecin, mais mes connaissances du lycée me permettent d’affirmer qu’il y a très peu de chances d’avoir un quelconque principe actif (qui ne sera sans doute même pas efficace à partir de 12CH (nombre d’Avogadro, etc)).

        Sinon, vous avez déjà envisagé autre chose qu’un complot de Big Pharma face à des propos qui remettent en question votre vision du monde ?

        • Libres jugements 06/07/2019 / 17h52

          Bonjour,
          Nous en avons sur ce blog propos ouvert et libre jugement.
          Chacun est en droit d’avoir un avis et l’échange est nécessaire, il permet « éventuellement » de se mettre en question d’un côté comme de l’autre.

          Votre dernière phrase nous interpelle et nous y répondons clairement. L’ensemble des laboratoires privés ont un but bien défini, satisfaire leurs actionnaires, sur ce point au moins il vous sera difficile de nous contredire.
          Quant à la médecine utilisant « l’homéopathie » (la médecine à base de plantes), qu’elle soit d’origine chinoise ou tribale, elle existe depuis la nuit des temps et a fait l’objet de nombreuses récupérations par les différents laboratoires au monde.

          Pour terminer nous aurions apprécié que vous n’utilisiez pas un phrasé condescendant dans votre commentaire.
          Michel

          • Robin 06/07/2019 / 20h13

            L’homéopathie n’est pas à base de plantes, vous confondez très certainement avec la phytothérapie, qui n’a rien à voir et est par définition classée comme allopathie par les homéopathes. Il me semble clair à présent que vous mélangez plusieurs pratiques en une seule (l’homéopathie n’existe que depuis 200 ans et n’est pas pratiquée en Chine).

            Où voyez-vous de la condescendance dans mes propos ? Je n’ai fait qu’énoncer des faits précis et vérifiés.

            Il est clair, sinon, que les laboratoires (dont Boiron fait partie) ont pour objectif de faire des bénéfices, comme tout un chacun. De ce fait, pourquoi vouloir leur reprocher tant qu’ils font leur boulot correctement, c’est à dire proposer des produits qui nous soignent ? Parce que parler d’arnaque à ce sujet, c’est plutôt fort…

            • Libres jugements 07/07/2019 / 12h12

              Bonjour
              A toutes les personnes qui nous interrogent dans un commentaire, lorsque nous répondons nous disons toujours bonjour pour commencer la réponse

              Lorsque nous parlons de l’homéopathie nous l’incorporons dans ce qui est appelé la médecine douce (pour certains la médecine parallèle).

              Il nous semble que l’objet de toutes prescriptions étant avant tout d’obtenir si ça n’est une guérison, un soulagement au maux.

              Concernant les laboratoires.
              Parce qu’une parente directe est confronter à une maladie dite orpheline, elle n’a que 2 alternatives médicales en dehors que d’attendre que la bête meure, pour éventuellement soulager ces maux invalidant.

              La première consiste à utiliser tout ce qui concerne la médecine douce, acupuncture, phytothérapie, homéopathie, marabout (et bouts de ficelle bien évidemment)
              La deuxième consiste à importer un médicament existant au stade expérimental aux USA pour la modique somme de 7000 $ la dose, a renouveler tous les 3 mois. Une valeur financière qu’hélas bien peu de gens peuvent se permettre.

              La personne en question, suivie à Montpellier par un professeur très expérimenté dans le domaine, n’a que l’une des 2 propositions a faire pour soulager les périodes de crises.
              Aussi comprendriez-vous notre position quant à l’ensemble des positions existantes en matière de soins face à cette maladie immunitaire « orpheline » certes, mais qui concerne quand même selon les statistiques entre 5 et 10.000 personnes en Europe et délaissée (recherche et fabrication) car non « rentable » par les labos français et européens.
              Concernant le coût en général, de certains médicaments. Pour être très proche de la gestion d’une association départementale (comprise dans une fédération nationale) qui s’occupe, en dehors de l’aspect ludique des activités proposées, de beaucoup de social pour les personnes retraitées, handicapées, âgées, œuvrant dans le milieu rural ou les revenus annuels sont entre 8 et 15.000€, est constaté que malgré les aides diverses, ils ne peuvent ni voir des spécialistes médicaux, ni acheter sans être immédiatement remboursé, de médicaments hors de prix (même en générique) alors qu’ils sont vendus dans les pays du tiers-monde, au tiers ou au quart de leur prix européen.

              Une dernière chose avant de se quitter, pour des raisons personnelles, les commentaires que nous émettons sont dictés par un logiciel qui quelquefois fait et écrit ce qu’il veut et si nous négligeons la séance des relectures, laissons passer quelquefois des incongruités, fautes de langage, fautes d’orthographes. Veuillez nous en excuser.

              Vous souhaitant un bon dimanche
              Michel

              • Robin 31/07/2019 / 22h41

                Quoi qu’il en soit, même si les principes de l’homéopathie étaient justes (ce qui reviendrait à devoir rayer 200 ans de découvertes faites en biologie, psychologie, physique et chimie), elle n’a pas plus d’effets qu’un placebo (pour rappel, un bisou magique est un placebo).

                • Libres jugements 31/07/2019 / 23h20

                  Chacun a droit d’avoir un avis.
                  Le mien est tout aussi valable que le votre.
                  Fraternellement
                  Michel

                  • Robin 01/08/2019 / 9h03

                    Vous aurez beau avoir pour avis que la Terre est plate ou en forme de cube, cela ne la rendra pas moins ronde pour autant. Idem pour l’homéopathie, toutes les études scientifiques sérieuses et indépendantes ayant démontré qu’elle n’a pas plus d’effets qu’un bisou magique.

                    • Libres jugements 01/08/2019 / 10h27

                      Vous usez de références scientifiques pour démontrer l’inefficacité de l’Homéopathie, a votre aise … mais que dire de certains produits ayant reçus toutes les garanties hospitalières essais cliniques et validation d’organisme d’état, droit de vente, etc … de produits telles le Médiator et bien d’autres (la liste (1) est longue hélas!), qui pourtant étaient d’une grande nocivité … Vous me jetez que l’homéopathie est récente (ce qui est parfaitement exact mais ce qui est dans toutes les têtes est qu’elle inclus – a tord je vous le concède – toutes les médecines douces et vouloir rectifier la pensée populaire est peut-être une utopie d’autant que certaines personnes et même en admettant que cela soit du placebo s’en trouvent soulagées.
                      En pour en terminer avec ce chapitre pensez qu’il y a (hélas) bon nombre de personnes qui ne peuvent se rendre fautes de finances auprès de médecins, dentistes, et ne peuvent (ne serait-ce qu’) avancer le montant des médicaments. Pour eux médecines des plantes, rebouteux et faiseuses d’anges sont encore (et une nouvelle fois hélas) leur quotidien.

                      Par expérience perso vous ne me convertirez pas à votre façon de voir d’une part et comme je vous l’ai déjà écris, chacun est libre d’avoir un avis sur cette forme de médecine …

                      Je respecte le votre, vous veillerez à respecter le mien.
                      En vous remerciant d’avance
                      Michel

                      (1) L’Afssaps a rendu publique une liste de 77 médicaments sous surveillance, ainsi que les 12 familles de médicaments faisant également l’objet d’une surveillance.

                    • Robin 01/08/2019 / 11h11

                      Que jugez-vous plus sérieux et fiable que des études scientifiques et des méta-analyses d’études scientifiques ? Je suis au regret de vous annoncer qu’une expérience personnelle ne sera jamais au même niveau, elle est même tout en bas de l’échelle des preuves.

                    • Libres jugements 01/08/2019 / 11h37

                      Cher MONSIEUR …
                      Nous apprécierons a sa juste valeur votre démonstration lumineuse de l’ignorance nous servant de costume.
                      Nous apprécierons de ne plus lire votre prose condescendante envers le béotien que nous sommes, béotien couronné d’une indécrottable inculture.
                      A bon entendeur …

                    • Robin 01/08/2019 / 11h39

                      Où y a t-il de la condescendance dans mes propos ? Je n’ai fait que vous informer de certaines choses, rien de plus.

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