Invité sur le plateau d’”On n’est pas couché”, l’ancien porte-parole du NPA n’a pas connu de round d’observation.
Interrogé de manière nerveuse par Yann Moix, Olivier Besancenot a déclaré qu’il se sentait toujours appartenir aux camps des Communards de 1871, ceux qui furent fusillés sur ordre d’Adolphe Thiers. Avec condescendance, Moix a alors rétorqué : “80% du peuple de Paris était pris en otage entre les Communards et les Versaillais, ils n’avaient rien demandé à personne”.
L’ancien candidat à la présidentielle a alors répondu : “Vous étiez sur place, vous avez tout noté ?”. Vexé, Moix l’a ensuite interrogé pour savoir “où était le peuple syrien aujourd’hui” en répétant la question à deux reprises. “C’est une garde à vue sur quoi ?”, s’est défendu Besancenot avant d’expliquer : “Il y a des organisations parfois minoritaires qui luttent contre la dictature d’Assad et contre l’Etat islamique”. Avant de conclure : “L’homogénéité politique, il y en a rarement”.